Un haut commandant du Hezbollah du nom de Hossein Mahdi a été éliminé dans une frappe aérienne de Tsahal contre son véhicule dans la ville d'al-Najariya, au sud du pays. Cinq autres membres de l'organisation terroriste ont été tués.  

Une série de sirènes avertissant de l'infiltration d'avions hostiles et de tirs de roquettes ont été entendues à Nahariya et ses environs tôt vendredi matin.

Par la suite, le commandement du front intérieur a annoncé que les incidents étaient terminés.

L'armée israélienne a confirmé qu'un certain nombre de drones se sont infiltrés depuis le Liban vers la Galilée occidentale. L'un d'eux a été intercepté au-dessus de la mer et un autre drone a explosé dans la région de Ga'aton.

Aucune explosion n'a été signalée dans la zone. Aucun blessé n'a été signalé.

Jeudi, un avion de la force aérienne israélienne, lors d'une frappe ciblée dans la région de Cana, a éliminé une cellule terroriste alors qu'elle se dirigeait vers une attaque terroriste immédiate sur le territoire israélien.

Tout au long de la journée, des avions de combat de l la force aérienne israélienne ont frappé et détruit une série de cibles terroristes du Hezbollah sur le territoire libanais.

Les cibles touchées comprennent une structure militaire et un poste d'observation dans la région d'Ayta ash Shab, un poste d'observation supplémentaire et une infrastructure terroriste dans la région de Meiss El Jabal, une structure militaire dans la région de Kfarkela et deux structures militaires dans lesquelles des terroristes opéraient dans les régions de Houla et de Naqoura.

Selon le Washington Post  daté du 11 mai dernier qui cite des sources officielles américaines l'Administration Biden aurait "offert" à Israël son aide afin de trouver le lieu où se cachent les chefs terroristes du Hamas, Yahia Sinwar et Mohamed Deif (cerveaux des massacres génocidaires du 7 octobre) et à repérer la plupart des tunnels creusés par les djihadistes. La proposition américaine comporte cependant une condition : Israël ne doit pas lancer d'opération militaire d'envergure à Rafah.

Cette information, si elle était avérée, représenterait comme nombre de Juifs américains l'on déjà dit un coup de tonnerre et une preuve de plus de l'incroyable trahison dont se rend coupable chaque jour davantage l'Administration Biden vis-à-vis de son allié juif au Proche-Orient.

Un soldat israélien a été poignardé près de l'implantation d'Yitzhar en Cisjordanie et a subi des blessures modérées, ont annoncé jeudi l'armée et les médecins.

Les Forces de défense israéliennes ont déclaré que le sous-officier avait été poignardé au carrefour Yitzhar, près de Huwara, alors qu'il se trouvait dans son véhicule. Le terroriste a ensuite pris la fuite.

L'armée a déclaré avoir lancé une chasse à l'homme pour retrouver l'agresseur et bloqué les routes dans la région.

Le blessé a pu rejoindre une position militaire voisine après avoir été attaqué. Là, il a déclaré aux soldats qu'il avait ralenti et ouvert la vitre de son véhicule parce qu'il avait vu un Palestinien lui faire un signe de la main, a rapporté la chaîne publique Kan.

Les médecins ont emmené le soldat à l'hôpital Beilinson de Petah Tikva, qui a déclaré qu'après avoir reçu les premiers soins médicaux, il était désormais considéré comme légèrement blessé.

Huwara a été un foyer de violence ces dernières années avec plusieurs attaques terroristes meurtrières dans et autour de la ville palestinienne, qui ont été accueillies par des représailles de la part d'extrémistes juifs qui ont saccagé la ville à plusieurs reprises.

Il s'agit du deuxième incident de la journée après qu'un homme ait tenté de poignarder des agents de la police des frontières à Jérusalem-Est tôt le matin. Les policiers ont ouvert le feu sur l'homme, le tuant avant qu'il ne puisse causer des blessures.

Des violences meurtrières ont eu lieu dans d'autres régions de Cisjordanie, avec trois Palestiniens tués pendant la nuit dans des affrontements avec les forces de Tsahal lors de la répression du financement du terrorisme dans le territoire, selon des responsables de l'Autorité palestinienne et des médias hébreux.

Les médias hébreux ont déclaré que les raids visaient des bureaux prétendument impliqués dans le transfert d'argent à des fins terroristes à Tulkarem, Naplouse, Qalqilya, Bethléem, Ramallah, Tubas et d'autres endroits.

À Tulkarem, dans le nord-ouest du territoire, les troupes ont été attaquées mais aucun d'entre elles n'a été blessée et ont riposté, selon les informations.

Trois hommes ont été tués dans cet affrontement, a indiqué à l'AFP le ministère de la Santé de l'Autorité palestinienne, ajoutant que plusieurs autres avaient été blessés.

Les personnes tuées ont été identifiées comme étant Ayman Ahmad Mubarak, 26 ans, Husam Imad Daabas, 22 ans, et Mohammed Yusif Nasrallah, 27 ans.

Selon l'agence de presse officielle de l'Autorité palestinienne WAFA, les trois hommes ont été tués lors d'un raid israélien sur la ville peu après minuit.

Il n'y a eu aucun commentaire de la part de Tsahal.

Les tensions entre Israéliens et Palestiniens se sont accrues en Cisjordanie et à Jérusalem-Est depuis le déclenchement de la guerre entre Israël et le Hamas à Gaza suite au massacre du 7 octobre, qui a vu les terroristes du Hamas tuer environ 1 200 personnes en Israël et en kidnapper 252.

Depuis le 7 octobre, les troupes ont arrêté quelque 4 000 Palestiniens recherchés en Cisjordanie, dont plus de 1 700 affiliés au Hamas. Selon le ministère de la Santé de l'Autorité palestinienne, plus de 490 Palestiniens de Cisjordanie ont été tués au cours de cette période.

Une quarantaine de roquettes ont été lancées depuis le Liban en deux barrages sur le plateau du Golan il y a peu de temps, selon l'armée israélienne.

Dans le même temps, les médias libanais font état de frappes aériennes israéliennes dans la région d'Ayta ash-Shabab, dans le sud du Liban.

Un terroriste armé d'un couteau a tenté de poignarder des agents de la police des frontières près du poste de police de Shalem dans la nuit de mercredi à jeudi. Les gardes-frontières qui opéraient à l'extérieur du poste de police, inspectaient le terroriste, qui avait éveillé leurs soupçons, lorsqu'il a sorti un couteau, foncé sur les policiers et tenté de poignarder l'un d'entre eux.

Les forces de sécurité ont alors ouvert le feu pour l'empêcher de nuire et l'ont neutralisé. Sa mort a ensuite été constatée sur place. D'importantes forces de police sont arrivées sur les lieux et ont commencé à recueillir des données sur les lieux et mener des opérations pour identifier le terroriste et d'autres opérations pour refuser toute assistance au terroriste. Le chef de la police de Jérusalem a salué la vigilance des policiers, et leur réaction immédiate et professionnelle.

Cinq soldats de Tsahal, qui ont tous combattu dans le bataillon 202 de la brigade parachutiste, sont tombés au combat dans le nord de Gaza.

L'armée israélienne a nommé les morts comme suit :

 Capitaine Roy Beit Yaakov, 22 ans de la ville d'Eli

 Sergent-chef Gilad Arye Boim, 22 ans de Karnei Shomron en Samarie

 Sergent Daniel Chemu, 20 ans de Tibériade

 Sergent Ilan Cohen, 20 ans de Carmiel

 Sergent d'état-major Betzalel David Shashuah, 21 ans de Tel Aviv

Leurs familles ont été prévenues.

Roy est le fils de Hadas et d'Avidan, le président de la ville. Il est également un ancien élève de l'académie pré-militaire Eli et son 21e soldat tombé au combat.

Le président du conseil régional de Binyamin, Israel Ganz, qui est également président du conseil de YESHA, a déclaré : « La famille, la ville d'Eli dont les habitants et les anciens élèves sont en première ligne de la guerre et toute la région de Binyamin souffrent énormément. »

« Quelle est grande la douleur liée au renouveau de la nation d'Israël sur sa terre. Combien de héros avons-nous, qui sacrifient leur vie pour que nous gagnions et vivions ici, sur la Terre d'Israël, en paix et en sécurité. Dans leur mérite, nous gagnerons. »

Les funérailles auront lieu jeudi à 15h00 au cimetière militaire du mont Herzl.

Liron Yitzhak, 30 ans, un employé civil du ministère de la Défense qui a été grièvement blessé lundi dans l'explosion d'un engin piégé dans le sud de la bande de Gaza, est décédé des suites de ses blessures, a-t-on autorisé la publication ce lundi soir.

Liron, un résident de Petach Tikva, était un employé d'une entreprise sous-traitante pour le compte du ministère de la Défense qui était en mission dans la bande de Gaza lorsque l'IED a explosé.

Beillinson Medical a annoncé que les équipes médicales se sont battues pour sa vie au cours des deux derniers jours pour tenter de soigner le grave traumatisme crânien qu'il a subi mais il a succombé à ses blessures.

Il laisse derrière lui ses parents, un frère, une soeur et sa fiancée Almog, qu'il devait épouser dans deux semaines.

Deux autres employés du ministère de la Défense ont été légèrement blessés dans l'explosion de lundi.

Liron est l'un des deux civils israéliens tués par des terroristes cette semaine.

Hier, Elad Fingerhut, 36 ans, du kibboutz Metzuba, en Galilée occidentale, a été assassiné à la suite d'un missile antichar lancé depuis le Liban par l'organisation terroriste Hezbollah.

Après avoir appris qu'un missile antichar avait frappé la zone, il est allé aider les soldats. Quelques minutes plus tard, le Hezbollah a tiré un autre missile qui a tué Fingerhut.

L'opération militaire d'Israël à Rafah a « fait reculer » les négociations avec le Hamas, a déploré mardi le Premier ministre du Qatar, médiateur dans les discussions pour une trêve dans la bande de Gaza, soulignant que les pourparlers étaient « presque dans une impasse ».

Les opérations israéliennes à Rafah, qui ont commencé ce mois-ci, ont eu pour conséquence de fermer un des principaux points de passage de l'aide du côté de la frontière avec l'Égypte, ce qui, selon les ONG humanitaires, ne fait qu'aggraver une situation déjà désastreuse.

L'ONU tente de justifier l'écart entre les deux derniers bilans des victimes à Gaza publiés début mai, et qui suscite une vive polémique. Interrogé sur CNN, un porte-parole de l'organisation a justifié la réduction par deux du nombre de femmes et d'enfants tués dans le dernier décompte, par le fait que seules les victimes identifiées avaient été recensées, tandis que le bilan précédent publié deux jours avant portait, selon lui, sur leur nombre global.

Un puissant barrage de roquettes a été tiré mercredi après-midi en direction de Meron, Safsufa, Bar Yochai, Jish et des zones voisines du nord d'Israël.

Une quarantaine de roquettes ont été tirées en direction de la zone par des terroristes basés au Liban. Selon des informations libanaises, Tsahal frappe actuellement Jabal al Baba, dans le sud du Liban.

Plusieurs roquettes ont été interceptées et d'autres sont tombées sur le mont Méron, à proximité des habitations d'habitants qui n'ont pas été évacués.

Le Magen David Adom (MDA) a rapporté : « À ce stade, nous n'avons reçu aucun rapport faisant état de blessés ».

Selon certaines informations, les roquettes ont été tirées vers une base de lTsahal à Meron et des missiles antichar ont été tirés sur Kiryat Shmona.

La chaîne saoudienne Al-Hadath a rapporté que « 80 roquettes ont été tirées vers Meron et les régions de la Haute Galilée et de la Galilée occidentale ».

Le barrage sur le nord d'Israël fait suite à l'élimination mardi soir de Hussein Makki, un haut responsable du Hezbollah, et de son garde de sécurité personnel dans le sud du Liban.

Les deux hommes ont été éliminés après qu'un drone ait attaqué une voiture dans la ville de Tyr.

Mercredi matin, Tsahal a confirmé : « Dans la nuit, un avion de l'armée de l'air israélienne a frappé et éliminé le terroriste Hussein Ibrahim Makki dans la région de Tyr, au sud du Liban. Makki était un haut commandant de terrain de l'organisation terroriste Hezbollah sur le front sud, qui était responsable pour la planification et l'exécution de nombreuses attaques terroristes contre des civils et le territoire israélien depuis le début de la guerre. »

« Dans le cadre de son rôle au sein de l'organisation terroriste du Hezbollah, Makki a été responsable de divers actes de terrorisme contre le front intérieur israélien, et il a auparavant servi comme commandant des forces du Hezbollah dans la région côtière. »

Hossein Ibrahim Mechi, chargé de superviser les attaques contre Israël depuis le sud du Liban, a été éliminé dans une frappe aérienne nocturne de Tsahal contre  le véhicule dans lequel il circulait, dans la ville de Tyr. Il est le 300e membre de l'organisation terroriste chiite tué par l'armée israélienne depuis le mois d'octobre.

Depuis plusieurs semaines, une inquiétante série de tirs de missiles visant Israël soulève de nombreuses interrogations. En provenance d'Irak, des milices pro-iraniennes revendiquent le lancement de redoutables missiles de croisière en direction de cibles stratégiques comme Eilat, Haïfa ou Tel-Aviv. Pourtant, aucun d'entre eux ne semble avoir atteint sa cible israélienne.

Selon les experts, il s'agirait de missiles Quds, Faba et autres modèles high-tech développés par Téhéran. Leur précision redoutable au mètre près, leur capacité à voler bas pour échapper aux radars et leur longue portée en font des armes particulièrement létales. Avec leurs ogives de 400 kg, un impact sur des zones fortifiées aurait des conséquences dévastatrices. Mais leur absence d'arrivée sur le territoire israélien soulève de nombreuses zones d'ombre.

L'unité du porte-parole de Tsahal a autorisé la publication mercredi matin que le sergent Ira Yair Gispan était tombé mardi au combat dans le sud de la bande de Gaza.

Gispan, 19 ans, originaire de Petah Tikva, a servi dans le 75e bataillon blindé de la 7e brigade blindée « Saar me-Golan ».

Sa famille a été prévenue.

Mardi, il a été autorisé à la publication que trois soldats de la brigade des parachutistes avaient été grièvement blessés lors de combats dans le nord de la bande de Gaza.

Par ailleurs, un soldat de la Brigade Givati a été grièvement blessé lors d'une bataille dans le sud de la bande de Gaza.

Les soldats ont été évacués pour être soignés dans un hôpital et leurs familles ont été informées de leurs blessures.

L'administration Biden ne pense pas qu'il soit probable ou possible qu'Israël remporte une « victoire totale » en anéantissant le groupe terroriste palestinien du Hamas dans la bande de Gaza, a déclaré lundi le vice-secrétaire d'État américain Kurt Campbell.

Cette expression a souvent été utilisée par le Premier ministre Benjamin Netanyahu, qui a affirmé à maintes reprises qu'un tel objectif était à portée de main.

Les médias arabes ont rapporté que les chars israéliens avaient commencé à pénétrer dans le centre de Rafah, dans trois quartiers peuplés, au milieu de violents combats.

JDN

Des progrès significatifs ce matin (mardi) dans la guerre en cours contre l'organisation terroriste Hamas dans la bande de Gaza : des habitants et des témoins oculaires ont rapporté à l'agence de presse Reuters que les chars israéliens ont avancé dans l'est de Rafah et sont entrés dans les quartiers d'Al-Janaina, Al-Salam et Al-Brésil.

L'un des habitants a déclaré que les chars se sont déplacés à l'ouest de la route Salah al-Din, traversant la bande de Gaza, dans les quartiers et que des échanges de tirs se sont développés dans la zone. « Ils sont dans les rues de la zone bâtie et il y a des heurts », a-t-il déclaré.

Deux soldats de Tsahal de l'unité du génie Yahalom ont été grièvement blessés et six autres légèrement par des obus de mortier tirés contre eux dans le sud de la bande de Gaza. Le porte-parole de Tsahal a déclaré qu'un employé d'une entreprise sous-traitante pour le compte du ministère de la Défense qui était en mission dans la zone a été grièvement blessé et que deux autres employés également en mission dans la zone ont été légèrement blessés. En outre, un combattant du bataillon Rotem de la brigade Givati ​​a été grièvement blessé la nuit dernière lors d'un affrontement avec des terroristes dans le nord de la bande de Gaza, et deux combattants du 51e bataillon de la brigade Golani ont été grièvement blessés lors d'un accident opérationnel dans la zone frontalière de Gaza, près du kibboutz Nir Am.

La cérémonie nationale du Yom Hazikaron a débuté lundi matin à 11h02 sur le mont Herzl à Jérusalem, immédiatement après la sirène de deux minutes marquant un moment de silence en mémoire des morts israéliens et des personnes assassinées lors d'attentats terroristes.

Le président israélien Isaac Herzog, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, le président de la Knesset Amir Ohana et le chef d'état-major de Tsahal Herzi Halevi sont présents à la cérémonie du Mont Herzl.

S'exprimant lors de la cérémonie, Netanyahu a déclaré : « Notre foyer national est debout notre pays est debout, et il est debout grâce à vous. Mais en même temps, la tristesse est terrible et déchirante. Chères familles, nos proches qui sont tombés dans le chaos, la bataille, et dans toutes les batailles d'Israël, les batailles du renouveau, représentent des valeurs éternelles. C'est soit Israël, soit les monstres du Hamas. C'est soit l'existence, la liberté, la sécurité et la prospérité soit le massacre, le viol et la servitude. »

Il a ajouté : « Nous sommes déterminés à gagner cette bataille. Mais le prix que nous payons le prix que les générations précédentes ont payé est très lourd. Notre guerre d'indépendance n'est pas encore terminée elle continue encore aujourd'hui. »

En ce Yom Hazikaron, Israël se souvient des 25 040 soldats morts, dont 760 depuis l'année dernière, dont 711 depuis le début de la guerre avec le Hamas le 7 octobre. Selon l'Institut d'Assurance Nationale, 5 100 civils ont été assassinés dans des attaques terroristes, dont 834 depuis le 7 octobre.

L'espoir aura été de courte durée. Ce samedi 11 mai, la branche armée du Hamas a annoncé la mort de l'otage israélien qui avait été vu plus tôt dans la journée dans une vidéo diffusée sur Telegram. Il était retenu dans la bande de Gaza depuis les attentats du mouvement terroriste palestinien du 7 octobre dernier.

L'otage présent dans la vidéo avait été identifié par le Forum des familles d'otages, une association représentant une partie des familles d'otages, comme étant Nadav Popplewell, un citoyen israélo-britannique de 51 ans du kibbutz Nirim.